Comment prendre le contrôle de sa confiance en soi ? 

  1. Notre objectif doit être atteignable. 
  2. Notre objectif doit être réaliste. 
  3. Notre réussite doit être reconnue. 
  4. Nos forces doivent être ressenties. 
  5. Notre esprit doit être relâché et relativiste.

Prenons un exemple : 


2- Notre objectif doit être réaliste : 

Prenons un nouvel exemple :  

  • La perfection est-elle nécessaire et attendue ?
  • Est-ce que je ne passe pas à côté de l’essentiel en cherchant cette perfection ?
  • Est-ce que je ne perds pas du temps à la recherche de cette perfection ? 
  • etc …
  • Quel est l’objectif de la présentation ? 
  • Qu’est-ce qui est évalué pour réussir ? 
  • Comment les juges notent-ils ? 
  • Pour ma présentation, finalement avec quelles informations mes interlocuteurs doivent-ils repartir ? 
  • etc ..

  • “ Tu as gagné, bravo” => “ Merci, mais mon adversaire n’était pas très fort”
  • “ Tu as réussi ton examen ” => “ Oui, mais c’était pas compliqué ” 
  • “ Bravo pour ta conférence, c’était génial” => “ Merci, mais j’ai trouvé les autres conférences bien mieux” 


5- Notre esprit doit être relâché et relativiste 

  • Ok, et ensuite il se passe quoi ? Quel est le risque ? 
  • Comment cela va bouleverser votre vie ? Est-ce que l’essentiel dans votre vie va être remis en question ?
  • Allez-vous tout perdre ? Est-ce de l’ordre du vital (votre vie est en jeu ?) 

  • Une augmentation de la DHEA (déhydroépioandrostérone), la DHEA étant appelée l’hormone de jouvence et servant à moduler le cortisol
  • Une baisse du cortisol sanguin et salivaire, le cortisol étant une hormone sécrétée lors d’un stress
  • Une augmentation des IgA (Immunoglobulines A) participant à la défense immunitaire
  • Une augmentation de la sécrétion d’ocytocine, l’ocytocine étant appelée l’hormone de l’amour procurant du plaisir à être en présence d’autrui
  • Une augmentation des ondes alpha favorisant la mémorisation et l’apprentissage
  • Une action favorable sur de nombreux neurotransmetteurs, comme la dopamine et la sérotonine, prévenant l’anxiété et la dépression
  • Une réduction de la perception du stress et impression de calme

La confiance en soi, mais pourquoi est-elle si importante dans notre vie ?


Alors comment avoir confiance en soi ? 


La confiance en soi reste-t-elle une fois acquise ? 

Prenons un exemple : 

“Je dois faire un podcast sur la confiance en soi, c’est une première !” 

“peux-tu faire un podcast sur la confiance en soi en anglais ?”


Comment prendre le contrôle de sa confiance en soi ?

L’émotion : un indic’ essentiel à ne plus ignorer dans la vie en entreprise

L’analogie entre nos émotions et le fonctionnement de nos entreprises.

L’entreprise est, comme le cerveau, un système qui agit et évolue sans cesse. Cependant à la différence du cerveau, l’entreprise n’est pas connecté directement à des signaux d’alertes indiquant l’état interne de son système.

En effet, notre système cérébral active des signaux pour faire état de notre fonctionnement interne vis à vis de l’environnement externe. Ces signaux sont nos sensations physiques et émotionnelles que l’on appelle : fatigue, douleur, maux, émotions positives ou négatives. ce sont des indicateurs essentiels pour réguler nos actions et comportements afin de rester en vie et évoluer plus sereinement.

Cependant, notre culture a affecté notre capacité à écouter et réguler nos comportements par rapport à nos signaux internes. Notre culture prône l’action constante, la performance, le développement, la production. Ce paradigme de pensée de notre culture est induit dans toutes les sphères professionnelles, sportives ou encore artistiques.

Nous avons appris à ignorer pour avancer. Cependant l’ignorance n’empêche pas le mal de se diffuser, au contraire il va se transformer.

La transformation de ces signaux, simplement désagréables au départ, en conséquence grave comme des blessures ou maladies, va enfin nous obliger à nous arrêter afin de résoudre notre problématique interne.

Le corps impose sa rupture afin de nous forcer à l’écouter. La volonté de le comprendre se fait lorsque le choix n’existe plus.

L’individu, dans la souffrance et l’impossibilité d’avancer, va enfin s’arrêter pour rechercher la cause de son dysfonctionnement par le biais d’indicateurs externes et visuels (radio, échographie, IRM). Le diagnostic posé va permettre de trouver le traitement adapté afin de se soigner.

Et si la leçon est retenue, cette rupture nous aura appris à faire attention à ces signaux désagréables, soient à nos sensations corporelles simplement prédictives d’un danger. Nous pourrons ainsi agir de manière plus saine et sereine afin d’éviter le danger à l’aide de nos émotions qui nous guideront si nous apprenons à comprendre leurs significations.

En entreprise, les signaux sont des indicateurs liés aux conséquences des dangers. Ces signaux sont visibles lorsque “la maladie” s’est déjà bien installée.

Démissions, ruptures conventionnelles, maladies, accidents du travail, problématique d’engagement, difficulté de recrutement, absentéisme, les conséquences sont lourdes pour les entreprises .

L’entreprise, comme l’individu malade, est contraint d’observer et analyser son état interne pour pouvoir avancer. Une fois le diagnostic établit, souvent par des experts extérieurs, les ajustements sont mis en place. Cependant en perpétuelle évolution, l’entreprise doit rester constamment attentive à son état interne. Sans signaux d’alertes, l’entreprise risque de s’enflammer une nouvelle fois.

Tout comme l’individu, l’entreprise doit apprendre à identifier les signaux prédicteurs des risques internes.

Mais comment mettre en place des alertes pour détecter les dysfonctionnements dans l’entreprise ?

Tout simplement de la même manière !

Avant la rupture, les maladies, les absences, des indicateurs sont palpables, ils sont simplement non-perçus comme pertinents dans la performance de l’entreprise.

Ce sont les émotions négatives qui vont se refléter dans l’ambiance des équipes. Intuitive, difficilement calculable, cette ambiance est pourtant capter par l’ensemble des individus.

Nous avons ces facultés, conceptualisé par le paradigme de l’intelligence émotionnelle, à ressentir l’atmosphère émotionnelle d’un groupe.

Alors doit-on avoir des indicateurs digitaux pour détecter l’émotion générale d’une équipe et ainsi résoudre la problématique ?

L’émotion est véhiculée par l’humain, le meilleur récepteur de cette émotion est l’humain. C’est tout simplement l’humain qui doit être en charge de cette gestion de l’alerte ! Mais un “humain” formé ! Les individus doivent appréhender l’intelligence émotionnelle.

La meilleure fonction pour ce rôle sont les personnes en charge des équipes, les managers. Ils sont en charge de la dynamique du groupe, garant des actions et des résultats des collaborateurs.

Les managers sont les meilleurs récepteurs de ses signaux émotionnels. La fonction de manager permet aux entreprises d’avoir en permanence des individus présents pour jauger de l’état interne de l’entreprise.

Les managers sont les détecteurs de fumées et en grande partie les “pompiers” des entreprises.

EFFISCIENCES : DE L’EFFICIENCE ET DES SCIENCES !

EFFISCIENCES : de l’efficience et des sciences !

Pourquoi parler d’efficience ?

Efficience : utiliser un minimum d’énergie pour un maximum de résultat. C’est prendre en compte l’énergie allouée aux actions pour obtenir le résultat attendu.

Nous vivons dans une société ultra concurrentielle ! La performance, l’efficacité, la réussite ont été pendant trop longtemps les valeurs principales de notre culture. Nous nous focalisons sur cette ligne d’arrivée, le résultat. Hors le résultat ne reste que la somme de nos actions, soit la simple conséquence de ce que nous mettons en place, de ce que nous vivons, analysons, ressentons dans notre quotidien. Cette focalisation sur le résultat a eu des conséquences néfastes sur la vie professionnelle, personnelle et environnementale. La notion d’efficacité ne peut plus être abordée de la même manière, il faut introduire cette notion d’efficience dans nos décisions. Cela demande plus que la connaissance de l’objectif, cela demande la connaissance des moyens, des stratégies, des méthodes les plus adaptées pour rester en équilibre jusqu’au sommet.

La donne change et doit continuer de changer !

Comment changer la donne ?

Rendre efficient nos actions en portant notre attention sur nous, notre fonctionnement, notre énergie. Sans énergie, nous ne pouvons agir, avancer, évoluer, apprendre, faire, comprendre. Il nous faut de l’énergie pour maintenir nos efforts physiques et mentaux. Notre énergie est notre moteur. Notre énergie est à l’origine de tout et pourtant elle est trop souvent ignorée. On agit comme si notre énergie était inépuisable, comme si elle provenait d’un puit infini auquel nous pouvons accéder à volonté. Cependant notre énergie appartient à un système. Notre énergie n’est ni inépuisable, ni infini, et comme tout système, elle est le résultat et le produit de ce système. Ce système c’est nous ! Notre énergie est dépendante de nos décisions, de nos actions quotidiennes, de notre comportement vis à vis de nous-même et d’autrui. Nous devons donc apprendre à gérer notre énergie.

Comment gérer notre énergie ?

La réponse est gravée sur le fronton du temple de Delphes : "connais-toi toi-même" est le précepte repris par Socrate pour nous rappeler qu'il y a en nous un principe d'excellence qui doit guider nos actions : la raison. Et qu'au sein de chaque situation que nous vivons, nous avons l'opportunité de donner le meilleur de nous même, d'apprendre sur-nous même et sur autrui.

La source de notre énergie dépend de notre système cognitif, comportemental et des composantes environnementales dans lequel il est et a évolué. Notre corps et notre esprit sont naturellement « programmés » pour nous donner des alertes afin de tendre à l’équilibre, l’homéostasie. Agir sans prendre en considération ce que l’on est et ressent, c’est agir contre soi. Nous pouvons être performant, efficace tout en maintenant notre énergie. Il suffit donc d’apprendre à se connaître et plus précisément comprendre les rouages de notre système.

Où trouver cette connaissance ?

La réponse : Les sciences cognitives !

Incluant de nombreux domaines de recherches, les sciences cognitives nous apportent compréhension et connaissance sur le fonctionnement et l’évolution de notre système cérébral et moteur . Elles montrent également les influences internes et externes agissant sur notre développement, sur nos comportements et nos capacités.

Les sciences cognitives nous enseignent les processus sous-jacents de notre mémoire, notre attention, notre perception, notre langage, notre apprentissage. Elles nous révèlent les situations environnementales néfastes et favorables à notre équilibre physique et psychologique.

Comprendre les mécanismes de notre pensée, c’est s’ouvrir à la connaissance de soi plus en profondeur. C’est entrevoir cette évolution perpétuelle de notre être mais également d’autrui.

EFFISCIENCES enseigne, transmet, initie, ancre pour développer le fonctionnement individuel et collectif afin d’agir pour se sentir mieux au sein de son environnement professionnel, éducatif ou sportif.